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20.00€
2023, 240 pages.
Au sommaire : un article de Greg Johnson, responsable du site américain Counter-Currents, à propos de certains actes de terrorisme auxquels se sont livrés ou se livrent des nationalistes blancs. On pense par exemple à la tuerie de masse perpétrée par Brenton Tarrant en Nouvelle-Zélande ou aux crimes similaires de Robert Bowers et Dylann Roof aux États-Unis. L’auteur s’efforce de montrer en quoi ce terrorisme nuit au nationalisme blanc et sert les ennemis de ce dernier. L’article qui suit, également de G. Johnson, prend position contre l’accélérationnisme, qui est l’idée selon laquelle le meilleur moyen d’atteindre les objectifs du nationalisme blanc est d’accélérer le déclin du système actuel. À cet égard, l’auteur pourrait faire sienne la formule bien connue de Charles Maurras : « La politique du pire est la pire des politiques. »
Le texte suivant, de Michele Presutto, est consacré à Mario Buda, une figure assez énigmatique de l’anarchisme terroriste. Buda est notamment « l’homme qui fit exploser Wall Street » lors d’un célèbre attentat de septembre 1920 qui provoqua la mort de plus de 30 personnes et près de 200 blessés. Il ne fut jamais jugé aux États-Unis pour cette action et pour de nombreuses autres. Il termina sa vie en Italie, non sans avoir été informateur pour le compte de la police politique de Mussolini. Un destin plutôt singulier.
Dans une longue étude en trois chapitres, l’historien révisionniste Carlo Mattogno revient sur l’origine du chiffre propagandiste de quatre millions de mort à Auschwitz-Birkenau. Il examine ensuite, pour le réfuter, un ouvrage de Franciszek Piper sur la mortalité à Auschwitz. Pour finir, il s’attarde sur les révisions numériques à la baisse opérées par Jean-Claude Pressac et l’Allemand Fritjof Meyer.
Nous publions également la première partie d’une longue étude de Thomas Kues sur les « preuves de la présence de Juifs “gazés” dans les territoires orientaux occupés ». Cette étude cherche à répondre, dans la mesure du possible, à la question si souvent posée aux révisionnistes : « Si les Juifs n’ont pas été gazés, où sont-ils passés ? »
Un article nécrologique signé d’Alexander Baron clôt ce riche volume de Tabou. Il est consacré à la figure controversée de Ray Hill (1939-2022), agent prétendument infiltré dans les milieux de la droite radicale au cours des années 1980. La réalité est légèrement différente.
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