Les Commandos du Reich – Otto Skorzeny

26.00

L’AEncre, 264 pages.

Préface de Saint-Loup.

À travers ce livre honnête, ce livre objectif, Skor­zeny apparaît sous les traits du héros traditionnel de l’Occident. À travers lui, resurgissent les vieux mythes du monde franc, gaélique et germanique.

Skorzeny est là et Parsi­fal n’est pas mort. Siegfried aiguise toujours son épée Skorzeny est, en effet, le premier « para » qui tombe du ciel pour délivrer Mussolini au nom de la parole donnée. C’est le motocycliste de combat, centaure moderne, qui émerge de la nuit pour balayer les mécréants, à un contre dix. Aucun des exploits de l’Antiquité, qu’on leur enseigne dans les écoles, ne se situe au-delà des exploits d’un Skorzeny.

À travers lui s’établit la continuité de l’héroïsme, un lien invisible – mais précieux – qui, noué à Sparte, se dénoue entre les mains vides des « paras » d’Indochine et d’Algérie, trahis eux aussi par le « schéma » des cosmopolites. Et sous un ciel éclatant de pureté, le nom de Skorzeny reste comme suspendu au zénith, sous la coupole blanche d’un parachute. (Saint-Loup)

 

Né le 12 juin 1908 à Vienne, membre d’un corps-franc d’étudiant anti-communiste, il deviendra ingé­nieur. Il rejoint une formation motorisée de la SS en 1938, puis intégrera la Leibstan­darte SS Adolf Hitler. En avril 1943, il est responsable de l’unité Frie­­den­thal. le 12 septembre 1943, il libère Benito Mussolini de sa prison du Gran Sasso, puis mul­tipliera les missions à l’intérieur des lignes enne­mies. À la fin de la guerre, il est Stan­dar­ten­führer, décoré des feuilles de chênes. Il meurt le 7 juillet 1975.

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Poids 0.600 kg