Le Procès de Nuremberg et l’Holocauste – Mark Weber

12.00

La Sfinge, 104 pages.

*Très peu de ceux qui se réfèrent d’abondance à «toutes les preuves accumulées à Nuremberg» pour prouver l’histoire de l’extermination sont vraiment au fait soit de la nature véritable de ces «preuves» soit du caractère de ces procès. Si l’on y regarde de plus près, il se révèle que l’on manque de preuves documentaires ou scientifiques solides pour soutenir l’hypothèse d’une politique d’extermination contre les Juifs pendant la guerre en Allemagne. Comme nous venons de le voir, les preuves qui ont été présentées à ces procès consistent principalement en aveux extorqués, en témoignages inventés et en documents frauduleux. Le mobile des procès de Nuremberg d’après-guerre était politique et ces derniers étaient destinés davantage à discréditer les dirigeants d’un régime vaincu qu’à établir la vérité.
Nous n’avons besoin ni de procès ni d’ «aveux» pour prouver que le massacre de Katyn a réellement eu lieu ou qu’après la guerre des Allemands de l’Europe de l’Est et de l’Europe centrale ont réellement été déportés. Par comparaison, l’histoire de l’Holocauste n’allègue pas seulement quelques massacres isolés, mais un vaste programme d’extermination se déroulant à travers le continent européen pendant une durée de trois ans et impliquant plusieurs gouvernements et des millions de personnes. Le fait que l’histoire de l’Holocauste doive si instamment faire appel à des preuves et des témoignages hautement douteux et à des procès mis en scène dans une atmosphère d’hystérie, d’intimidation et de propagande sans parallèles dans l’histoire, démontre son inhérente fragilité.

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