La Maîtresse du cardinal – Benito MUSSOLINI

22.00

Premier et unique roman du Duce lorsqu’il était, à 26 ans, secrétaire du Syndicat Socialiste du Travail à Trente (Autriche).

Il nous y narre les aventures d’un cardinal qui songe à jeter sa pourpre aux orties par amour pour une courtisane. Las, ses ennemis du Vatican et du clergé local vont tout faire pour le perdre. Un roman feuilleton très XIXe (dans la veine d’un Eugène Sue) où percent déjà un goût prononcé pour la volonté de puissance et la violence politique, rehaussé par un parfum délicieusement anticlérical. Un document, pour la première fois traduit en français.

Laissez-vous tenter par cette histoire qui, si elle n’égale pas les oeuvres de Dumas ou d’Eugène Sue, se laisse lire agréablement. Après Hitler artiste peintre, Mussolini romancier, peut-être Pol Pot poète et Salazar danseur étoile ? (Radio Massabielle)

On prendra ce livre pour sa valeur documentaire plus que pour ses qualité littéraires. S’y trouvent toutefois intégrés à la fiction plusieurs éléments biographiques susceptibles de retenir l’intérêt. (Pierre-Luc Moudenc, Rivarol)

Un bon livre, admirablement traduit, à lire à toute vitesse selon la loi du genre. Oeuvre de jeunesse bientôt centenaire, dans la veine feuilletonesque d’alors, en tout cas habilement inspirée des maîtres du roman populaire, du vicomte Ponson du Terrail à Léo Taxil pour ses ouvrages anticléricaux. (Réfléchir & Agir)

Publiée en feuilleton dans le journal La Vita Trentina, La Maîtresse du cardinal s’inscrit dans la veine du roman populaire et historique. En effet, grand lecteur d’Emile Gaboriau, d’Alexandre Dumas, de Tommaso Grassi, Benito Mussolini en reprend volontairement tous les codes. Il y a donc du suspense, c’est à dire au sens strict, la suspension du récit dont les évènements sont évidemment reportés au chapitre suivant puis des digressions multiples, puis des entrecroisements d’intrigues, jusqu’aux personnages hauts en couleurs, distribués clairement en bons et mauvais, humbles et fortunés, et dont par exemple, comme dans les romans d’Eugène Sue, la seule appartenance à tel ou tel milieu social participe du drame (…) Œuvre plaisante, divertissante, d’un charme suranné, La Maîtresse du cardinal tentera à coup sûr les amateurs de curiosités et de raretés. (Le Magazine des Livres)

Une vraie curiosité jamais traduite jusqu’alors en français ! (Faits & Documents)

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